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Des textes et des photos...

30 janvier 2008

Alfavakken Knobbel Praktisch Beleden the

Alfavakken

Knobbel

Praktisch

Beleden

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30 janvier 2008

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Ze zijn beiden voor aardrijkskunde gezakt.

14 décembre 2006

A toi tout simplement...

A toi qui peux me comprendre

A toi qui sais m’entendre

Toi qui m’écoute me plaindre

Toi qui m’empêche de geindre

Je veux t’avouer

Que sans toi, j’aurais abandonné

Tu as ce don que peu ont

Tu sais toujours avoir raison

Tu es ce grand garçon

Qui partage ma passion

Tu m’as redonné l’espoir

Tu as été comme un miroir

On a tous deux voulu arrêter

Mais à deux, on va continuer

On va écrire des poèmes

Des textes qui déchirent, qu’on aime

Je te dois beaucoup

Je te dois surtout

La patience de me lire

Le bonheur de te lire

Tes textes me touchent directement

Ils me font chavirer lentement

Dans un monde de poésie

Où tout n’est que bonheur et envie

Tu me plonges dans tes pensées

Où je me suis tant de fois retrouvée

Je le dis et je l’assume :

Tu es mon partenaire de plume.

14 décembre 2006

Stefano

Il s’appelle Stefano

Il est fort, il est beau
Stefano est musicien

Et très doué de ces mains

Il me raconte des histoires

Quand il se fait tard

Il est mon héros

Il est le plus beau

En classe, on l‘oublie

A la maison aussi

Personne ne semble le voir

Personne ne semble me croire

Je le sens, il est là

Il est toujours là pour moi
Stefano est mon confident
Quoi qu’en dise mes parents

J’étais jeune et insouciante

Stupide et ignorante

Mes parents avaient raison

Stefan est parti, à sa façon

Sans un regard ni au revoir
Je ne peux le croire

Il était mon seul ami
Le seul qui m’ait souri

Il savait lire dans mes pensées

Normal, il était né de mes pensées

Personne ne le voit

Personne, à part moi
J’ai grandi et je l’ai abandonné

J’ai oublié qu’il avait existé

Il n’était que dans ma tête
Il est maintenant dans mon cœur

Il n’existait ni en chair, ni sur papier
Mais c’était le plus fort dans mes pensées

Un ami imaginaire

Est certes éphémère

Mais il s’agit du seul

Qui ne nous abandonne jamais.

14 décembre 2006

Dis-moi

Dis-moi que la vie est belle.

Dis-moi que nous c’est différent.

Dis-moi comment tu fais.

Dis-moi quel est ton secret.

Dis-moi que tu m’aimes.

Dis-moi que tu m’emmènes au vent.

Dis-moi « Lucas ».

Dis-moi « ma petite bouille d’amour ».

Dis-moi que tu as besoin de moi.

Dis-moi  que tu es toujours là.

Dis-moi que le poisson rose est le plus beau.

Dis-moi que tu es ma bouillotte.

Dis-moi que tu es là pour me réchauffer.

Dis-moi que la vie continue.

Dis-moi que tu comprends.

Dis-moi que rien n’est plus magique.

Dis-moi que rien n’est terminé.

Dis-moi que ça va durer…

10 mois que ça dure…

Dis-toi que je t’aime.

Dis-toi que rien n’est plus important que toi.

Dis-toi que j’irai où tu iras.

Dis-toi que je suis comblée.

Dis-toi que tu me rends heureuse.

Dis-toi que tu es le seul et l’unique.

Dis-toi que rien ne te surpasse.

Dis-toi que je t’aime plus que le soleil aime la Terre.

Dis-toi que je t’aimais, je t’aime et je t’aimerai.

Dis-toi qu’il a un mois.

Dis-toi que les mouettes volent.

Dis-toi que ma vie ne prend sens qu’à côté de toi.

Dis-toi que rien ne te remplace.

Dis-toi qu’envie de rien, besoin de toi.

Dis-toi que besoin de rien, envie de toi.

Dis-toi que c’est toi ou rien.

Dis-toi que c’est une bonne idée.

Dis-toi que je suis là.

Dis-toi que la soupe chinoise se verse sur les plats.

Dis-toi que nous sommes des crapules.

Dis-toi que ça va continuer.

Dis-toi que j'aime la lueur de tes yeux.

Dis-toi que les pompes sont bonnes pour la santé.

Dis-toi que je tiens à toi.

Dis-toi que tu comptes plus que tout pour moi.

Dis toi que tu es le seul à comprendre.

Dis-toi que je t'aime plus que tout.

Dis-toi que tant de souvenirs laissent une trace.

Dis-toi que j'ai encore beaucoup à dire.

Dis-toi que jamais je ne te remercierai assez.

Dis-toi que tu es tout pour moi.

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14 décembre 2006

C'était les vacances de juillet Je l'ai connu, Il

C'était les vacances de juillet

Je l'ai connu,

Il était beau et intelligent,

Je ne savais si je l'aimais,

Mais lui me le disait,

Au début, c'était de l'amitié,

J'en suis sûre, puis tout a dévié,

Mon coeur a chaviré

Il était troublé,

Face à cette bouche qui me disait des "je t'aime",

Sans que je ne puisse comprendre ce qu’ils disaient,

Moi j'acquiesçai, "je t'aime aussi" je lui répondais,

Cela a duré un an et demi, plus, moins,

Je n'avais plus la notion du temps,

Tout ce que je sais c'est que ça a duré trop longtemps,

Il habitait loin, je ne le voyais quasiment jamais,

Mais il m'aimait, c'est ce qu'il disait

Au bout d'un an, j’ai pensé le quitter,

Mais à cet instant, ce moment,

On ne se voyait plus,

Mais "on s'aimait à distance" disions nous,

Le quitter par texto était trop dur pour moi,

Même si je ne l'aimais pas comme il m'aimait,

Je l'appréciais, et je voulais le quitter comme il le méritait,

Mais l'occasion ne se présentait pas

Un jour, un message sur la messagerie, "rappelle-moi, je t'aime"

Je le rappelle,

En sanglot, il me dit qu'il est sorti avec une autre fille,

Mais c’est fini avec elle, ajoute-t-il comme s’il se le reprochait

Il continua : il ne m'aime plus comme avant,

Il ne m'aime plus comme peuvent aimer des enfants ou des pré-adolescents,

Et c'est là; que j’ai compris,

J’étais seule,

Seule sans rien pouvoir dire,

Sans demander pardon,

Sans dire merci,

Pas une larme n’a coulé sur mon visage,

Je me suis souvenue de ces moments où il me disait "je t'aime" et moi je lui souriais et lui répondait "je t'aime aussi"

C’étaient de beaux moments pour tous les deux,

Nous étions heureux

Mais pas amoureux

Comme peuvent aimer des enfants, des préadolescents.

14 décembre 2006

A cette heure, le soleil se couche A cette heure,

A cette heure, le soleil se couche

A cette heure, nos deux coeurs se touchent

En fin de journée, le soleil s'enfuit

Il fait noir dans cette sombre nuit

Dans la nuit, seul mon soleil brille toujours

Chaque nuit, ma plume rime avec amour

Le soleil, le ciel peuvent bien s’enfuir

Ca ne m'empêchera pas d’écrire

14 décembre 2006

J'ai la tête qui réfléchitLe coeur qui souritMes

J'ai la tête qui réfléchit
Le coeur qui sourit
Mes ennuis sont repartis
Seule reste une envie

Une envie d'autre chose
Que jamais on ose
Quelque chose qui m'impose
Une sorte de trêve,une pause

Pour réfléchir seul avec moi
Ouvrir une autre voie
Vers un monde pour moi
Vers un monde sans toi

Tu n'es plus le bienvenu
Tu n'étais pas revenu
Maintenant c'est perdu
Tu t'y étais attendu

Il ne fallait pas partir
Ni me mentir
Mentir c'est trahir
Trahir c'est bannir

Je te bannis de ma vie
De mes nuits, mes envies
Pour toi c'est fini
Ne reviens plus ici

Je t'ai écouté parler
Accepté tes pensées
Les miennes tu les as laissées filer
Sans t'en soucier

Aujourd'hui je réfléchis
Et pense à changer ma vie
Mais j'aurais pas de répit
Juste mon envie

Ecrit en duo avec un garçon bourré de talent
Qui me pousse à l'emerveillement
Le lire est un plaisir
L'autre est d'écrire
Il partage ma passion
Il nourrit mon inspiration
Personne ne peut nous retirer
Notre précieuse amitié
Basée sur le domptage des mots
Basée sur ce qui est plus que beau
Les mots nous dépassent
Ils nous surpassent
Et je vois dans sa plume
Qu'il le comprend et l'assume
Il sait s'approprier les expressions
Y mettre de l'émotion
Il touche droit au coeur
Pour notre plus grand bonheur

Continue sur ta voie
Ne t'arrêtes pas là
Tu m'as énormément aidé
Je ne t'ai pas assez remercié
Je continuerai à écrire
Si ça peut te faire sourire
Je continuerai à te lire
Parce que c'est un plaisir

14 décembre 2006

Toi qui a été, es et seras...

Je n'arrive pas à écrire
Je n'arrive pas à me dire
Que ça aurait pu se finir
Je ne veux pas imaginer le pire
Ta réponse m'a fait plaisir
Je ne fais que la relire

J'espère tellement que tu m'aies reconnu
J'espère ne pas t'avoir déçu
Espérer un avenir à notre amitié
Espérer que ce ne soit pas du passé

Ta réponse m'a fait pleuré
Ca ne doit pas t'étonner
Ca devient une habitude avec toi
Plus souvent des larmes de joie
Mais des larmes à flot
Larmes qui coulent à cause des mots
Mots qu'on se dit
et que jamais on oublie.
Des textes qui font pleurer
Des textes qu'on a brulé
Des années qu'on a passé
Des années que j'ai rêvé

Tu as toujours été présente
Une présence permanente
A laquelle je m'étais habituée
Dont je ne peux me passer

Tu m'as tant épauler
Tant aider
Tant donner
Je ne sais te remercier

A présent, tu dois savoir
Qui se cache derrière cette histoire
Qui a écrit ces mots tendres
Que nous sommes les seules à comprende.

14 décembre 2006

Toi...

Oublier que nous deux,
ça a été merveilleux.
Oublier que je t'ai tout dit,
que tu étais plus qu'une amie.
Oublier ce que tu as oublié.
J'avais déjà remarqué
Qu'on était en train de s'éloigner
Qu'on était en train d'oublier
C'est fini et je n'y peux rien
C'est fini mais je t'aimerai toujours bien

Mais je n'arriverais pas à oublier...
Tu m'as tant donné
Tu m'as tant offert
Maintenant, tuas autre chose à faire.
D'autres gens à aider
D'autres gens à aimer
Je n'ai pas assez profité
Tel est mon regret

Merci pour rien et pour tout.
Je n'oublierai pas ce que ça a été "nous"
Je ne peux pas oublier
Même si je le voulais...

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